Informations Générales
Climat et Ecosystème
(à compléter)
Faune et Flore
(à compléter)
Géographie
(à compléter)
Histoire de la Planète
(à compléter)
Politique et Société
Architectures
(à compléter)
Populations et Démographie
(à compléter)
Culture, Tradition et Religion
Rites Funéraires
La réincarnation est ce qui arrive à l’ensemble des espèces de Görana. Les lamias décident auprès de quel dieu elles veulent servirent à leur mort. Ainsi, elles peuvent devenir un animal, une plante, un astre… tout dépend de la vocation choisie. Certaines redeviennent des lamias, parce qu’elles choisissent Hjelmar, le Dieu de la fertilité. Les primates se réincarnent, génération après génération, dans leurs petits enfants. Il ne faut pas le prendre de manière littérale ou directe, il faut comprendre par cela qu’ils leur lègue un héritage spirituel. Les dragons ne meurent pas, ou plutôt plus. Ils sont immortels, ce pourquoi leur population est régulée. S’ils viennent à mourir, ils se réincarnent dans le coeur de la magie arcanique. L’on peut alors toujours communiquer avec eux en de rares occasions en les invoquant à travers cette magie. Les pouics se réincarnent en eux-même au bout de quelques jours après leurs morts, ce qui est bien pratique… mais ils ne gardent aucun souvenir de leur décès ! Et c’est pour ça qu’au final, même s’ils sont très nombreux, ils ne progressent pas réellement en termes de chiffres. Les golems redeviennent la nature lorsqu’ils sont trop usé par le temps.
Rituel des Eaux
"Le soir est fait pour reposer ses muscles, s’occuper de son hygiène et se détendre. Il est coutume ici de prendre son bain après le dîner. C’est très rare de le prendre seul, car la famille et les amis ont une place primordiale. C’est la pièce la plus importante de chaque maison pour nous. Les bains servent aussi à témoigner notre respect envers nos invités. Nous prenons des bains également en pleine journée pour échanger en toute sérénité avec nos pairs, jouer avec les plus jeunes ou améliorer nos nages.”
Rituel d'association à un Esprit ou à un Elémentaire
On sait de ce périple qu'il est censé durer plusieurs mois pour mettre à l'épreuve celui qui souhaite se lier à une tierce entité. C'est comme cela que font les personnes qui ne sont pas dotées de pouvoirs magiques naturellement.
Famille et Polyamour
Contrairement aux moeurs de beaucoup d’autres peuples, il est plus normal sur Görana d’avoir plusieurs partenaires plutôt que de former un couple. Bien entendu, les binômes amoureux existent, mais ils sont loin de représenter la majorité. Les familles de races divergentes sont rares sur Görana, mais elles existent. En principe, les natifs d’une même espèce sont plus attirés par ceux qui ont les mêmes caractéristiques qu’eux. Cependant, une généralité ne peut jamais être totalement vraie. Les relations sexuelles inter-espèce sont prohibées et source de dégoût pour les habitants de la planète. Ces “partenariats” singuliers sont donc acceptés car de leur union n’en découle qu’un amour pur et platonique, sous-entendu sans aucun plaisir charnel. Ils sont donc dans l’incapacité de se reproduire ensemble. De ce fait, les couples inter-raciaux, s’ils désirent une descendance, ont des enfants “chacun de leur côté” avec quelqu’un leur espèce, ce qui ne les empêche pas ensuite de les élever ensemble.
Séduction
"Sur Görana, il faut prouver sa valeur à l’élu de notre cœur pour le courtiser. En premier lieu, il est donc nécessaire de proposer un combat amical à la personne que l’on veut séduire. Si vous êtes à la hauteur d’après votre (peut-être) futur(e) conjoint(e), vous aurez accès à votre premier rendez-vous ensemble !"
Cérémonie de la Moisson
Tous les ans se tient la cérémonie de la Moisson. Chacun ramène des offrandes pour leurs dieux qui sont présents durant la fête. Ils peuvent librement échanger avec les déités, qui font honneur de leur présence en ce jour exceptionnel. Cela se passe au printemps. Cette célébration permet également à ceux qui le désirent de sacrifier délibérément cette vie en échange d'une prochaine auprès de la divinité de leur choix.
