Chi-Chi

chichi
Résumé
Race Terrien
Sexe Féminin
Taille 163cm
Poids 51kg
Groupe Sanguin AB
Statut Vivant
Activité Inactif
Joué par Chi-Chi
Date création 27-10-2009
Dernier RP Journée banale mais pourtant...
Dernière localisation Terre
Dernière planète Terre
Infos Professionnelles
Alignement Bon
Maison Terre
Entourage
Mari Son Gokū..
Fils Son GohanSon Goten

Histoire

Chi-Chi est la princesse de la Montagne de Feu ainsi que la fille de Gyūmaō, le Roi de la Montagne de Feu. Plus tard, elle fondera une famille avec Son Gokū, et deviendra la mère aimante et protectrice de ses deux fils, Son Gohan et Son Goten. Tout d'abord présentée comme une jeune fille timide mais intrépide, elle développera une personnalité fière et endurcie une fois adulte : ses crises de colère la rendront célèbre tout au long de l'histoire. Malgré tout, elle montre un amour débordant pour sa famille, qui est ce qu'elle a de plus précieux pour elle.

Caractère

Princesse se différenciant de l’âme redoutable affichée par son père, l’enfant qu’était Chichi a, autant, représenté une timidité parfaite qu’une rêveuse assumée. Rêveuse, parfaite croyante des histoires qui se lisent dans les contes de fées. Princesse recherchant la vision de l’homme parfait à épouser. Princesse régie par cette recherche enfantine et dénuée de raisons, sans se soucier de la terreur que son aîné pouvait octroyer. Véritable âme pure, Chichi s’est toujours montrée être une personne digne de confiance et sur laquelle on peut foncièrement compter. Sa jeunesse ne reflète pas toute la personnalité qu’elle a pu acquérir au fil des années. Enfance où la crainte a pu motiver le moindre de ses faits et gestes, incapable de pouvoir se défendre seule, incapable de s’en sortir par elle-même. Rares sont les fois où elle a pu s’en sortir sans aucune aide. Des rares fois où elle acquit victoire en relâchant des larmes s’écoulant le long de ses joues.

Une femme se met à changer dès lors qu’elle finit par se marier et par mettre au monde son premier enfant. Chichi ne déroge pas à cette règle ancestrale. Se marier a radicalement changé toute sa vie, mais aussi toute sa personnalité. Mère de famille protectrice, peut-être beaucoup trop, Chichi se montre très intransigeante sur l’éducation qu’elle souhaite inculquer à ses enfants. Gohan en a payé le prix fort et parfois, c’est indépendamment d’elle. Son souhait le plus cher? Éloigner son fils de chaque esprit malsain et mauvais, éviter qu’il ne rencontre ces âmes affreuses capables de lui arracher la prunelle de ses yeux. Elle a connu la perte. Elle a connu la douleur d’avoir perdu son mari la toute première fois. Événement qui vous marque. Événement qui vous brise en mille morceaux, dont le seul remède trouvé est d’être une femme, mais aussi une mère autoritaire, très dure et froide. Carapace pour ne pas reconnaître être incapable de supporter une nouvelle perte dans sa famille. Carapace lourde et douloureuse de ne pas assumer ces émotions qui la tiraillent et qui mettent son âme en émoi. Si Chichi possède des difficultés à montrer son bonheur, la raison réside en ce fait que lorsqu’elle le connut aux côtés de son mari, Gokû, ce bonheur s’est rapidement volé en fumée, comme rien n’avait existé. Carapace créée pour se protéger de ces maux qui la détruisent. Uniquement pour cela. Une carapace que Chichi a appris à vivre et à s’en accommoder. Une apparence qui montre à tout un chacun qu’elle n’est pas une femme à prendre à la légère. Qu’elle est une femme qui sait ce qu’elle veut, qui sait ce qui est le plus bénéfique pour sa famille et qui ne reculera devant rien pour la protéger, quitte à en payer le prix, quitte à devoir user de violence pour y parvenir. Mais, attention! Il faut savoir que, même si elle ne pratique pas l’art du combat, Chichi est une combattante qui n’a pas froid aux yeux. Combattante redoutable, elle ne lésine sur aucun moyen pour avoir l’avantage. Goten est celui qui a pu voir la véritable valeur de force de sa maman. Une vision octroyée pour que Gokû puisse être fier de son second fils. Et même si Chichi éprouvera toujours du mal à accepter les changements que provoquent les transformations de ses hommes Saiyans, elle n’est pas peu fière d’avoir accompli ce privilège qui s’est reporté sur Goten.

Toutefois, il est bon de noter que Chichi n’est pas seulement une personne froide et parfois odieuse avec sa famille et son entourage. Elle est aussi capable de montrer ses sentiments. Elle est aussi capable de montrer à ses enfants et à son mari à quel point elle les aime, à quel point elle tient à eux. Même si parfois son époux peut lui sortir par les yeux, Chichi sait accepter l’inévitable et elle sait, surtout, apprécier chaque moment que la vie lui offre à ses côtés. Vivre sans avoir son homme pratiquement tout le temps à ses côtés, c’est un choc, c’est difficile. En se mariant, Chichi ne s’était pas attendue à vivre une vie de la sorte. Bien qu’elle puisse regretter certaines de ses réactions sévères, l’épouse tente de se rattraper en préparant de bons petits plats ou en faisant preuve de multiples attentions envers son époux, mais aussi ses enfants. Soucieuse de leur bien-être, Chichi est capable de rester à leur chevet en abandonnant toutes ces tâches qui incombent à la femme. Autant que faire se peut, Chichi tente de contrôler ses mauvaises humeurs et de se montrer plus laxiste. Au fil des années, elle apprend à s’assagir, mais elle apprend aussi de son amie, Bulma, qui est parfois, son opposé et auprès de laquelle Chichi continue d’apprendre pour être moins… dans l'agressivité.

Physique

Longue chevelure ébène se laissant tomber sur les épaules d’une mère de famille n’ayant pas froid aux yeux. Regard empreint de détermination qui ne quitte jamais ce faciès pouvant facilement arborer une mine colérique, stricte, sérieuse. Femme qui vit au-delà d’une ère où la jeunesse ne souhaite pas demeurer éternelle sur sa peau, mais dont l’entretien mérite de souligner ces traits ne reflétant nullement cet âge proche d’une quarantaine qu’elle ne souhaite atteindre. Chevelure ébène qui s’allie parfaitement à cette même couleur recouvrant ce regard perçant pouvant se montrer doux et charmant. Rares sont ces instants où on ne peut apercevoir des joues teintées d’une fine couleur rosée, sur cette peau claire qui habille sa silhouette, tant par manifestation d’un compliment ou par manifestation d’un énervement qu’elle ne parvient à contenir.

Depuis qu’elle est devenue épouse et mère de famille, Chichi a abandonné le relâchement de sa chevelure pour un attachement complet de cette dernière, abandonnant, petit à petit, cette frange protégeant la surface de son front. La raison? Les multiples devoirs qu'inclut d’être mère, ne permettant pas d’avoir une liberté jouissive sur ses cheveux au vue des nombreuses activités qu’elle emploie pour s’occuper de ses enfants ou encore ce besoin qu’une femme ressent de changer d’apparence, tout simplement. Un changement capillaire qui lui donne une allure encore beaucoup plus stricte qu’à l’accoutumée. Une allure qu’elle a appris à accepter et à afficher fièrement. Bien qu’elle soit une parfaite cuisinière et une bonne mangeuse, sa physionomie n’est pas celle de son père. Physionomie héritée, sans doute, de cette mère qu’elle n’a jamais connue, elle affiche une silhouette fine, élancée, aux courbes dont Chichi n’a pas à rougir de leur générosité. Ancienne pratiquante d’Arts Martiaux, la belle conserve quelques attraits physiques récoltés de ces quelques entraînements d’antan. Une conservation qu’elle cultive secrètement, lors de ces quelques temps libres, à l’abri de tous.

Les traditions familiales coulent dans ses veines. Elles s’écoulent jusqu’aux vêtements qui habillent son corps. Habits qui diffèrent et qui ne sont jamais les mêmes. Chichi a troqué son cheongsam (robe chinoise) bleu pour une robe violette dont la taille est maintenue par une ceinture jaune, ses épaules par un tissu dans un jaune quelque peu plus sombre. Un troc qui marque un cap dans sa vie de jeune femme à épouse, puis de mère de famille. Le violet semble bien s’installer dans les normes de la jeune femme. Pourquoi? Lorsqu’elle finit par donner la vie à son second enfant, Chichi semble avoir voulu retrouver les saveurs particulières de sa jeunesse. Une jeunesse où le combat fut présent, où cette infime passion pour les Arts Martiaux était inscrite dans ses veines. Couramment à présent, Chichi revêt un cheongsam similaire à celui de son passé. Similitude dans le tissu, mais différente dans cette palette de couleurs de tons violacés qui le recouvre. Néanmoins, lorsque les circonstances le nécessitent, Chichi peut porter des vêtements plus coquets, davantage dans l’ère du temps et qui savent la mettre en valeur.

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