Docteur Sorrow
Résumé | |
Surnom | Docteur Sorrow |
Race | Terrien |
Age | 43 |
Anniversaire | 13 janvier |
Signe | Capricorne |
Sexe | Masculin |
Taille | 192cm |
Statut | Inconnu |
Activité | Inactif |
Infos Professionnelles | |
Alignement | Neutre |
Entourage | |
Connaissances | AmaryllisHaruka TanibaraRellum |
Histoire
Je suis née sur Dark enfin c'est ce que j'aurais voulu au lieu de ça je suis dans la zone désaffecté de la Terre je suppose vue que c'est là que j'ai passé ma jeunesse après être sorti d'un orphelinat, j'ai rapidement trouver un livre sur la médecine ancienne, j'ai alors commencer à étudier seul dans mon coin, entre deux trois pierres qui m'arrivait dans la gueule par des sale gosses plus aisé que moi, aujourd'hui tout les gosses on eu le même nombre de coup de couteau que le nombre de pierre que j'ai reçu sur la tronche, j'aurais pu essayer de les sauver mais j'ai fait exprès de pas réussir à les sauver, je trouvait cela tellement gratifiant à mes yeux, et cette étape ma aider pour le moins à comprendre les gestes qu'il ne fallait pas faire, les corps doivent certainement être entrain de pourrir, enfin avec le temps les rats on surement fait leur travail. Puis j'ai rencontré cette fille une fois que j'ai quitter la Terre pour me rendre sur Dark, elle était attentionné avec moi, son père était mal et j'ai réussi à le sauver pas totalement puisque au finale la maladie avait tout de même fini par l'emporter, à l'époque la peste faisait des ravages dans les quartiers les plus défavoriser, je n'était pas le seul avec un accoutrement comme celui que je porte, et fur et mesure je comprit que le sort de certaine personne était inévitable j'ai alors commencer à tuer ces pauvres gens uniquement ceux atteint de maladie contagieuse, je devais le faire ces personnes était perdu et n'avait plus aucun proche, il fallait éviter que la population entière soit infecté par des maladies qui serait difficile à éliminé, les autorités on rapidement voulu faire quelque chose pour moi, malgré qu'il comprenait que c'était la seule solution, j'ai rapidement était arrêté pour mes actes mais pas punis, on m'ordonna de tuer le plus de personne possible cela arrangeais les politiciens qui ne voulait pas payer une fortune pour un vaccin, vaccin que j'avais crée et qui était presque terminer. Une fois terminer j'ai commencer à le distribuer puis le vendre pour une somme bien anecdotique, et bien sure cela ne leur plaisait pas, jamais rien ne leur avait plus de toute façon et depuis le début rien ne pouvait sauver mon sort, les politiciens ce lave les mains sur ceux qui font le sale boulot, l'inspecteur fit une grimace, je doute pas qu'il avait compris la subtilité de mes dire, il était aussi enrôler la dedans, il compris que je n'était pas la seule personne à pointer du doigt, il continua d'écrire sur son foutu calepin, j'ai l'impression d'être une foutu machine sur la quel il recopiait, de toute façon il ce couvrira derrière le fait que c'est une enquête et qu'il à besoin de rédiger quelque chose comme si cela allait faire revenir les choses comme avant.
Je claqua la porte derrière moi, ferma la porte à double tours retira mon chapeau puis mon masque avant que ma femme me saute dessus contente de me retrouver, elle me tendit un des livres qu'elle avait fini d'écrire elle aimait avoir mon avis et si ce dernier me plaisait pas elle ne le mettait pas en vente, mais la plupart du temps c'était une grande réussite, les intrigues était plus que passionnante. Le repas était prêt, l'odeur était comme d'habitude divine et le repas fus excellent, ont pouvait dire qu'elle était plutôt doué pour faire à manger comme pour écrire, j'étais poser sur mon fauteuil comme à mon habitude lisant des récit jusqu'à ce que ma femme s'approche de moi son bras agrippa mon avant bras elle me tira vers la chambre guidé par ses yeux, cella ne faisait aucun doute notre amour était si intense que rien ne pouvait arrêter tout ça, sa nuisette glissa le long de son corps, la nuit fut douce, intense et tout ce que peut imaginer de bon. Le regard de l'inspecteur fut quelque peu différent visiblement mes paroles avait fait quelque peu remonté des souvenirs en lui, j'ai remarqué que sur cette parti il ne prit aucune note.
Ce matin là tout avait basculer du bonheur au plaisir survint le cauchemar et l'horreur, les autorités ou plutôt des flics charger de faire le sale boulot enfonça la porte de mon logement, les gonds sauta sans crier garde il entra dans la chambre, un coup de matraque arriva rapidement dans mes coter alors que je m'étais lever proclamant qu'il avait rien à faire ici, j'attrapa avec facilité une dague que j'avais cacher sous le matelas, l'homme devant moi qui ne cessait de me gueuler dessus fut rapidement neutraliser alors que ma dague s'enfonça dans sa gorge, ma femme prit par les cheveux, j'entends encore le bruit de sa chute dans les escalier qui menais dans le sous sol, dans la précipitation des choses je fut moi aussi emmené dans le sous sol là où ce trouvait mon laboratoire. Je l'avait volontairement fait peu accueillant pour éviter tout intrusion et dissuader toute personne non autoriser à entre prendre la fuite, les hommes commença à casser tout ce qui trouvait à porter, je retiens à vie le visage de l'homme qui portait des coups sur ma femme, ce fut d'ailleurs le premier à mourir sous mes coups enrager quand j'ai réussi à échapper à l'emprise de l'homme qui me tenait les bras derrière mon dos, l'un des hommes mis le feu à la pièce ce dernier m'envoyer en plein visage un acide inflammable sur le quel je travaillais, de multiple explosion on eu lieu, dans l'explosion des scalpels s'envola m'en prenant sur moi, les cicatrices son encore bien présente, voulant protéger ma femme je me rendit compte qu'un couteau était planter dans poitrine, je réussi temps bien que la mal à éteindre les flammes qui était entrain de consumer mon visage, elle m'avoua à qu'elle point elle m'aimait avant que ses yeux ne ce ferme. La chope de thé explosa entre mes mains, avant que mon point ne vienne frapper la table dans un réflexe typique d'homme de loi, l'inspecteur posa la main sur son arme, il lâcha son calepin et son stylo pour me regarder d'un air agressif et méfiant.
J'ai réussi à sorti me frayant un chemin dans les multiples autres explosion alors que les morceaux de verre d'échantillon et fiole venait s'enfoncer dans ma peau, une fois sorti du sous sol je déposa le corps de ma femme sur le sol la serrant dans mes bras, il y avait quelque minute je la voyais encore dormir, j'avais beau avoir tout un tas de médicament de soin à lui apporter quand le cœur ne bat plus tout cela ne sert plus à rien, j'ai enterré ma femme à l'aube, seule sous les fines goutte de pluie. Son collier et la seul chose qui me reste d'elle collier qui représente une pétale de rose.
Il était temps de partir l'inspecteur voulait enchaîner par des questions, mais je suis vraiment désolé mais je n'avait pas plus de temps à vous accorder, vous savez tout de ma vie... ou presque... je pris la lanterne avant de l'éteindre le coin ou nous étions était totalement dans le sombre mon sac à la main ma canne sous le bras je déposa de l'huile de lanterne sur le sol cela le ralentira si il compte me suivre je sorti rapidement du bar, là le jeune stagiaire qui me regarda passa sous ses yeux, Shadow suivit ce posant sur mon épaule me donnant le calepin de l'inspecteur, je marcha au bout de la rue, l’inspecteur sorti du bar à son tour me voyant brûler le calepin, pas de filature ce soir il est tout seul et son jeune stagiaire qui la accompagné et bien trop faible, de plus je doute qu'il tienne à la douleur que je pourrait lui infliger, je connais bien l'inspecteur monsieur Mac Allan, ça pauvre femme est atteint d'un cancer et elle en n'a plus pour très longtemps, Mac Allan ce donne à fond durant ces enquêtes cela l'empêche de penser au tragique destin de sa femme, même si il voudrait faire quelque chose il ne pourrait pas, l'enquête sur mon cas lui a était retiré au moment ou le commissariat a eu quelque souci le bâtiment a brûler et un nouveau chef est arriver, ce dernier c'est charger personnellement de s'occuper de moi... Je l'attend toujours, et ceci dérange monsieur Allan qui travail de manière indépendante derrière le dos de son boss. Je suis inculper d'une centaine de meurtre, ça aussi c'est plutôt anodin pour un médecin, qui à sauver des vies dans le passé. En me voyant partir dans la rue sombre et recouvert d'une épaisse brume, Mac Allan savait que je n'était plus que l'ombre de moi même derrière le masque plus personne n'existait, tout était partie ce matin là avec ma femme, il n'y avait que le masque et mon accoutrement ainsi que mon nom qui me définissait.
Caractère
J'aime la pluie, le froid et le noire, j'aime pas le jour et le soleil et dire que ces bandes d'abruti pense que c'est parce que j'étouffe sous mon costume et mon masque alors que c'est juste que je déteste voir leur visage d'hypocrite qui loue mes services pour leur bonne conscience, ah merde putain fait chier mon œil... ça recommence... une larme de sang vient de couler, selon mes diagnostiques je suis atteint d'une maladie incurable je sais pas pour combien de temps j'en est encore, mais au fond je préfère peut être pas le savoir, je suis aussi atteint d'une maladie rare: la fibrodysplasie ossifiante progressive, c'est une ossification des muscles et des tendons, néanmoins j'ai réussi à ralentir la progression si ce n'est la stoppé, mais c'est pas sans risque l'antidote a des effets secondaire peu viable: vomissement, paralysie partiel ou totale du corps, perte d'équilibre, sensation de fourmis très prononcé sur le corps.. la liste est longue, je n'est pas eu le temps de toutes les répertorier.
Je suis instable mentalement voilà ce que conclut l'inspecteur en face de moi.. Il n'a sans doute pas tout à fait tord... ou alors je préfère qu'on me vois ainsi pour pas qu'on m'approche, et ce vieux dégénéré accoudé sur le contoire qui n'arrête pas de gueuler comme un foutu porcelet, lui aurait certainement bien plus de problème que moi. Pourquoi l'inspecteur avait il conclut cela, la menace en vers son pigeon de stagiaire.. peut être ou bien le fait que je sois si minutieux dans ce que je fais, néanmoins j'ai toujours était comme ça et c'est une qualité pour un docteur, en temps générale j'établie rapidement un diagnostique, par exemple ce gars assis non loin, la sueur sur son front la manière dont il regarde autour de lui, ses mains tremblante, il est anxieux, mais les pellicules sur sa tête pourrait laisser croire qu'il est souvent stresser, mais il n'a pas touché son verre depuis qu'il la commandé, soit il attend quelqu'un qui sera le sortir dans la merde dans la quel il sait foutu soit il est entrain de penser à ce qu'il vient de faire, et a complètement oublié qu'il à commandé quelque chose qu'il pensait lui faire du bien, le compte à rebours a commencer pour lui, des gens pas très commode doit être à sa recherche, il est chétif aucun moyen de ce défendre avec force, la peur le ronge.
Moi pour me calmer et me détendre j'opte par l'écoute de la musique plutôt calme en temps générale, j'aime écrire et lire, je fait du piano quand j'en est le temps je trouve que cette instrument a la force de vous transportez, et tout les autres instruments qui s'apparente au piano d'ailleurs, l'astronomie et contempler les étoiles son quelque chose que j'apprécie aussi, je collectionne les chapeaux et je commence même ceux des masques, mes chapeaux préféré son ceux que ma femme ma fait sans aucun doute. Si je suis pas dehors à regarder comment le monde ce dégrade je suis assis sur mon siège à me demander comment j'ai fais pour en arriver là, si la vie est aussi désastreuse pour moi que pour les autres, si le bonheur existe quelque part où je me sentirais bien. Je déteste les gens plutôt anodin pour un docteur, l'inspecteur ne ce sentait plus très bien, il commençait à tapoter son stylo sur son calepin, pour ce détendre il prit une gorger de sa bière, certainement devenu quelque peu alcoolique depuis les tragiques événement qui lui arrive. Mais je ne pouvait pas en dire autant de mon cas, le thé que je tenais dans mes mains n'était pas là pour être bue, mais simplement pour me réchauffer les mains. L'inspecteur fit un geste brusque pour regarder sa montre déjà quinze minutes qu'il était là, et il ne savait toujours pas les moments difficile que j'ai vécu et qui ma certainement fait devenir celui que je suis aujourd’hui, il était impatient il attendait ce moment, il restait intrigué sur mon cas. Je me demande si il sait que ce nom ce son les gens qui me l'on coller sur le front, mais peu importe, il l'on plutôt bien choisi après tout.
Physique
Je me retrouve assis au fond d'un bar d'un quartier peu viable les conditions y sont désastreuse, je suis seul dans mon coin ou presque, l’inspecteur en face de moi et un peu sur la gauche est venu s'invité à ma table, les gens autour pense que je suis un danger que je suis différent, ils ont raison je ne suis pas comme eux, je me retrouve dans aucune des personnes, pourtant au moindre problème il viendront me parler peut être mon masque noir fait de cuire, un bec courber comme un corbeau, pour mes yeux de simple ouverture ronde avec un verre par dessus tout ceci les dissuadera peut être de pas venir me voir, j'en doute... Je fais 1 mètre 92 et ma tunique noir est plutôt à l'aise ce n'est pourtant pas le seul vêtement que je porte je varie de temps à autre quand l'envie me prend, la tunique que je porte est renforcer de cuire au niveau des épaules, je porte un chapeau mais pas ce soir, j'ai opter pour la simple capuche, qui recouvre une bonne parti de ma tête et mes cheveux long et par chance ne sont pas brûler par ce tragique matin... Mon visage lui est brûler à soixante pour-cent au troisième degrés, voilà l'une des raison pour la quel je n'enlève que rarement mon masque. La peau brûler à tendance à vouloir ce coller au paroi du masque, si je le retire je peux éventuellement compté sur une injection d'anti-inflammatoire après cela soit je doit dormir en espérant que la douleur me réveille pas ou bien remettre mon masque mais dans les deux cas je vais souffrir pendant quelque heures, j'ai déjà utilisé les soins basique sur la brûlure mais rien n'arrange les choses, le produit qui est l'origine de la brûlure est bien trop toxique rendent cette brûlure difficile à vivre, cela fait quelque années maintenant que je vie avec et la douleur est bien moins présente. Les seules personne à avoir vue mon visage son les morts, j'espère que pour eux c'est un bon souvenir.
Le talon de ma botte s'écrasa sur un cafard qui traînait depuis quelque minutes autour de mes pieds, l'inspecteur s’effraye et sursaute mais essaye de le dissimuler faisant mine de ce repositionné correctement sur sa chaise, j'échange que très peu de regard avec lui mais je l'es vue. Cela fais quelque minutes que cette inspecteur est là à me poser plusieurs questions, je sais ce qu'il fait là, il veut me connaitre percer les secrets qui m'entoure. Mes mains son recouvert avec des gants en cuire qui agrippait la chope de thé qui ce trouve devant moi, gant abordant des bouts métallique au bout des doigts sur chaque phalange et sur le dos de la main. Mal positionné le collier sur mon poignet glisse sur le dos de ma main, collier qui me liait a ma femme, l'inspecteur ne pu s’empêcher de le regarder c'est à ce moment que j'échange le premier regard avec lui, inévitablement il voit mes yeux un peu dissimuler dans la pénombre, la bougie poser sur la table offre que très peu de lumière, il aperçoit donc mes yeux abordant un contours rouge très peu prononcé mais tout de même présent, son regard effrayer laisse croire qu'il est stupéfait de voir que mes pupille rouge au contour noire le blanc des yeux qui était plutôt gris, il était effrayer mais ne le montrait pas plus que cela. Un cris aiguë retentis dans le bar les gens ce retourna pour voir défiler mon corbeau, l'inspecteur regarda l'animale alors qu'il était intrigué, Shadow était son nom, le stagiaire qu'avait emmener l'inspecteur avec lui gloussa quelque instant, rigole seulement pauvre ignorant j'espère que Shadow fera de toi son dîner, je pointa du doigt le stagiaire montrant mon mécontentement, le bleu ferma rapidement sa gueule avant que l’inspecteur lui fasse un geste de dégager dehors. Ce corbeau et la seule présence que j'accepte à coter de moi.
J'ai comme l'impression de pouvoir communiquer avec lui, cela et une sensation étrange que peu de personne pourrait comprendre. La bougie était presque terminé je décida de prendre ma lanterne poser sur la banquette à coter de moi, je la posa et l'alluma, lanterne que je porte à la taille et qui est attacher à ma ceinture, je dispose aussi de quelque sacoches à l'intérieur ce trouve différent poison, antidote ce qu'on pourrait appeler des soins de premier secours, à l'intérieur de ma tunique ou bien un manteau tout dépend ce que je porte, là ce trouve des choses un peu plus important, trois scalpels, plusieurs couteaux, un poignard, plusieurs seringues prête à l’emploi, dans mon sac ce trouvait quelque recharge pour la seringue des fioles plus grande et tout tas de chose qu'un docteur aurait besoin, dessus j'ai poser ma canne, canne qui n'était autre qu'un fourreau dans le quel ce trouvait une épée, une montre à gousset était dans l'une de mes poches, il est important de noter l'heure du décès, dans une autre des poches ce trouve une boite à musique d'un style baroque faite de bois avec des gravures sur le dessus. Je la sorti, l'inspecteur ce pencha légèrement gardant un œil sur moi, si j'aurais voulus le tuer il le serait déjà...