Garlic
Résumé | |
Prénom | Garlic I |
Race | Makyan |
Age | 387 |
Sexe | Masculin |
Tué par | Piccolo |
Statut | Vivant |
Activité | Inactif |
Joué par | Gervais |
Date création | 21-11-2021 |
Dernier RP | [Observation] Roi Démon Piccolo VS Black Goku |
Dernière localisation | Zones Désaffectées |
Dernière planète | Terre |
Infos Professionnelles | |
Alignement | Mauvais |
Entourage | |
Proches | Roi Démon Piccolo |
Connaissances | GalenaZamasu |
Histoire
Qu’est-ce que ce raffut ? Ici, la seconde n’a jamais cessé d’être à un “ tac” de passer à l’autre. Alors au début, quand toutes leurs flammes n’étaient même pas parvenues à roussir la grille, comme tous les autres il avait attendu. Et ça n’avait pas été si désagréable. Après tout, combien de fois un homme dispose-t-il d’occasions dans sa courte vie pour s’asseoir et songer à la gloire des jours traversés ? On en mène des combats quand on est chassé du ciel. Et on à souvent l’occasion d’y monter ; six, parfois sept fois, si en bonne compagnie. Et “lui” seul sait combien de sourires d’une vie toute entière on à oublié derrière.
Junior ? Sauf qu’à chaque fois qu'il lorgnait vers les saisons passées, il se rappelait qu’il ratait celles qui défilaient loin dehors. Comme tous les autres. Ces occasions ponctuelles de réalisation toute bête que tout n’était pas rose à Shéol-land menaient à la guerre. Des batailles perdues d’avance contre leur propre condition. Ainsi ils allaient battre les parois enragées et invisibles d’un paysage figé, baigné dans le crépuscule rouge qui avait signé leur éclipse. Et alors ils s’en prenaient à tout ce qui était enfermé avec eux. A chaque fois. Et lorsqu’il n’y eut définitivement plus rien à détruire, ils recommencèrent à cogner contre la grille. Sans jamais s’arrêter, devant un soleil sanglant moqueur, résolu à ne jamais mourir.
C’est toi mon fillot ? Pourquoi toquaient-t-ils ? Pour sortir bien-sûr. Car dehors, c’était le Paradis. Alors ils continuaient de heurter, dans l’espoir que quelqu’un vienne leur ouvrir. Encore, et encore, et encore. Peut-être qu’il fallait juste taper un peu plus fort cette fois. Mais si ils cognaient aux portes du Paradis, c’était à se demander où est-ce qu’ils étaient pas vrai ?
Allons, que cessent tes soties ! Bien-sûr, ils finirent par abandonner. Et donc, il retournait se blottir contre ses souvenirs. Seulement très vite vint la réalisation que sa vie n’était pas assez longue face à tout le temps perdu à tenter d’en cueillir tous les souvenirs. Et quand même l’effort de se souvenir était devenu insupportable, il n’était plus. Plusieurs fois certains d’entre eux s’étaient demandé “ qu’est-ce qui est en train de nous tuer ? “. Autant dire qu’ils l’avaient découvert bien assez tard. L’abîme du temps est le venin féroce qui force un homme à en oublier jusqu’à la forme de son propre visage.
Demain, ton Père sera Dieu, et pour cela il à besoin de repos ! Il finit par oublier, par s’oublier. Tous les instants précieux qui ont fait de sa vie la sienne ne sont plus que des programmes bruyants diffusés sur un écran enneigé. Et puis soudain, le miracle longtemps attendu. Machinalement, il sort involontairement attiré par la fracture de la monotonie. Par terre, il aperçoit du coin de l'œil un fragment miroitant, s’observe en son reflet et…
Caractère
Faisant le tour du propriétaire du regard, le Makyan constatait à coups de gloussements qui ne pouvaient signifier que rancœur et hargne l’endroit, du moins ce qu’il en restait, où il se trouvait.
“Ce petit prétentieux m’aura vraiment gardé dans son cellier tout ce temps. Parle Piccolo ! Combien de temps ? Combien de mois ont passé depuis que ce misérable tas de laitue nous à emprisonné moi et mon ost ?”
Quoique perçants, ses yeux n’avaient apparemment pas assimilé toutes les têtes présentes aux côtés du Roi-Démon vert. Ce n’était hélas pas le cas de la kyrielle de Makyans qui constellait les ruines, fixant avec épouvante le Namek en guenille qui semblait circonspect, au bas mot.
A peine éveillés, le peuple des démons originels paraissaient d’ores et déjà perturber le simple cours naturel des choses. D’une odeur entêtante d’oeuf pourri l’air se nimbait, tandis que toute matière qui faisait montre de la couleur rouge s’illuminait malicieusement, de la ceinture de Piccolo aux ecchymoses de Dendé, en passant par les babines figées de stupeur de Popo.
Physique
Les yeux de batracien plissés de Piccolo furent les premiers à s’habituer aux radiations cramoisies libérées par la roche fendue. Là où quelques instants auparavant encore se tenaient les fières pierres qui constituaient le Palais du Tout-Puissant, s’éveillaient par milliers de jeunes créatures aux yeux trahissant la démence que seul le vieil âge connaît. Au milieu de cette famille bien singulière, Garlic, Suzerain du Peuple Oublié. Le monde lui-même dû témoigner de son horreur en voilant tous ses cieux sans exception.
L’esprit ulcéré s’extirpe parfois à la mort du jour, et le Roi des Makyans avait attendu la fin de ce crépuscule depuis un certain temps. En tout point similaire à ses contemporains Nameks, il s’en distinguait néanmoins par la plus azurée des carnations. De fait, chez les Makyans tout était question de couleur. Et si les premiers n’étaient bons qu’à semer les choux et la disgrâce, les seconds s’épanouissaient dans la débauche et le luxe. Drapé d’une cape d’or qui cachait un bras droit disproportionné, Garlic toisait son camarade de toute la hauteur que son mètre difficilement atteint lui octroyait. Sa petitesse, sa peau fripée et pêchue, ses doigts cagneux, son crâne effeuillé…
Tout chez lui annonçait sa vulnérabilité. Pourtant, son armure chryséléphantine épousant sa musculature insoupçonnée trahissait la supercherie. Pour achever de clouer le tableau, sa tunique de pourpre et de gueule, rehaussée des armoiries avait eu une signification, il y à de ça fort longtemps. Les langues modernes d’aujourd’hui ne sauraient retranscrire exactement les idiomes d’autrefois, cependant la substantifique moelle des mots demeurait la même. “Mal”, c’était ce qu’il fallait retenir lorsqu’on apercevait la tour couronnée d’or et de pourpre.
“ Je suppose que c’est à toi que je dois cette renaissance inopinée.” Annonça-t-il d’un ton gris sans saveur, rompant le silence irréel ininterrompu depuis la rupture du cristal noir.
“ Ne t’attends pas à ce que je t’appelle Maman, canaille ! Hin-hin ! “
Liste des RPs
Statistiques des rpsTechniques Illimitées
Chô Makōhō
Chou Makouhou (超魔口砲, Chō-makōhō) est une vague déferlante expulsé depuis la bouche de l'utilisateur.
Omoi Soumasen
En concentrant son regard sur un point fixe, le Roi du peuple oublié peut augmenter localement sa densité, très légèrement.
Akashingō
En ciblant de son index crochu n’importe quoi, tant qu’il arbore la couleur rouge, Garlic est capable de décupler son facteur de réflexion à plus de 1000%. De la sorte, le moindre objet rouge est une source de lumière aveuglante en puissance lorsqu’il est dans les parages.
Techniques X3
Probatio Diabolica
Le contact d’un Makyan est mauvais pour la santé… mentale. D’une bouffée de vapeur expirée au visage de sa cible, Garlic instille en elle les premières gouttes vers sa transition en démon. La pauvre sera tourmentée par des visions d’horreur et des pulsions violentes et difficilement contrôlables. Au bout de la troisième tentative, le futur démon ne pourra plus être davantage perverti, sans courir le risque de le briser.
Devious Beam
Un rayon d’énergie pernicieuse, (aux couleurs du makankosappo garric tu connais Pythar) lancé du plat de la main. S’il n’inflige aucune offense visible à l'œil nu, la victime de cette technique pourra sentir toutes ses entrailles roussir, bouillir, rôtir aussitôt qu’elle se sera replongée dans l’ardeur du combat. N’étant pas homme à souhaiter la mort d’autrui, Garlic s’arrêtera à trois surchauffes.
Techniques X1
Morning Star
En attrapant bien fermement son adversaire au creux de sa main et sans jamais détourner le regard, le Roi Garlic peut le rétrécir brutalement pour l’enfermer dans une bille adamantine noire, brûlante et extrêmement dense. Aucun tour de passe-passe n’est capable de libérer un captif de cette prison ; seule la force brute le peut.